This is a record of all the valid book recommendations I received before, during and in the year after my 2012 quest. I chose one book for each nation for the project. These are underlined and you …
Source : The list
This is a record of all the valid book recommendations I received before, during and in the year after my 2012 quest. I chose one book for each nation for the project. These are underlined and you …
Source : The list
By Astrid Countee
Everyone is talking about innovation. Big business wants it, startups want it. Even my grandma wants it. But how do you do it? What is the elusive formula that produces and maintains innovation? It’s the business question of the day.
What innovation actually is depends on who you are talking to. In general innovation is seen as the application of better ideas to existing market meeds. There are conferences built around innovation, companies have innovation days to introduce new products and generate new ideas, and there are even jobs where you can be the head of innovation. Although we may not all agree on one definition of innovation, we know it when we see it, and companies large and small are on the lookout for it.
Yet many of us anthropologists are innovating all the time, even if we don’t call it…
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89 mois, de Caroline Michel – http://wp.me/p2QnIf-33z
Je vous invite à découvrir ma lettre adressée à la romancière américaine Julie Otsuka qui fait suite à la lecture de son très beau roman « Certaines n’avaient jamais vu la mer » paru en 2012 aux Editions Phébus et qui obtint la même année le prix Femina.
Chère Julie,
J’ai rencontré votre livre au hasard d’une flânerie. Ce devait être à Paris, à proximité de de la Bourse. Chez un bouquiniste peu fréquenté domicilié dans un passage couvert. Un passage aux alcôves étroites qui se prêtent aux liaisons clandestines. Il y avait beaucoup de poussière dans cette minuscule boutique tenue par un bibliophile peu avenant dont l’apparence n’incitait guère à la conversation. Je me souviens avoir éternué au contact des particules de poussière qui colonisaient son échoppe et recouvraient les livres en couche épaisse. Des livres dont personne ne voulait plus. Des livres oubliés. Je m’emparai du votre car la…
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The Pluto Press Blog - Independent, radical publishing
Katy Gardner and David Lewis discuss the new edition of this enduring classic of anthropology.
‘Whatever happened to the Anthropology of Development and its ‘post-modern challenge’? After nearly twenty years since the first edition of our book, we decided that the time was ripe to revisit the issues. What we found was both a huge amount of change and not very much at all. It depended where you looked. Whilst there were new players in ‘Aidland’ – corporations touting ‘social responsibility’ and billionaire philanthropists, for example – and with the emergence of BRICs (Brazil, Russia, India, China) and ‘the Next 11’ some notable shifts in Development’s geopolitics, in other ways the issues were resoundingly familiar. The collapse of the Rana Plaza in Dhaka, Bangladesh during 2013, for example, reminded us that the issues that framed the earlier edition of the book remained horribly pertinent. As we had argued then…
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« Evariste » de François-Henri Désérable aux Editions Gallimard (collection Blanche)
1ère de couverture « Evariste » de François-Henri Désérable aux Editions Gallimard
Entrer en République des Lettres par un premier roman qui retrace le parcours d’un mathématicien de génie mort à vingt ans en duel sur l’autel des amours impossibles, il fallait oser. En effet dans un monde, qui si fréquemment oppose Sciences et Lettres, l’apologie d’un prince de l’algèbre pouvait laisser présager la sanction du lecteur féru de lyrisme. Mais armé de sa plume déterminée, François-Henri Désérable réussit du haut de ses vingt-sept ans l’exercice périlleux du contre-emploi littéraire et rend ainsi un hommage tout feu tout flamme à l’algèbre lui restituant toute la poésie dont l’enseignement scolaire la déleste.
Oui, Evariste Galois n’est pas un jeune homme comme les autres. Evariste Galois a la fronde vrillée au cœur et la bosse des maths. Exalté, brouillon, pressé de faire corps avec…
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A la suite des événements tragiques qui ont endeuillé la France, j’ai eu envie d’écrire quelques textes courts. Trois textes. Le premier comme un cri de rage et un rejet, le second que j’ai voulu comme une micro-fable et enfin le dernier qui revient sur « Ma génération », celle née peu après les événements de 68. En effet, il m’a été impossible de lire durant cette période, ni même d’écrire sur des sujets qui ne concernaient pas cet épisode d’amok divin qui s’est emparé de ces trois hommes à l’origine de la tuerie de Charlie Hebdo et de l’hypermarché Casher. Bonne lecture.
Astrid Manfredi
PREMIER TEXTE : VIDE
Un ciel vide où les nuages ne s’étirent plus. Un ciel de cendres sans pluie, sans rires, sans neige, sans lune, sans étoiles. Seule l’immense tristesse d’un jour rouge accompagné d’un long cri dont l’écho s’enracine dans chaque cœur.
À bout portant…
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